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Article sur les 3 types d'endométriose - Gapianne
Endométriose

Les différents types d’endométriose

Si l’endométriose, cette maladie de l’endomètre qui touche 10% des femmes en France, commence à être de plus en plus évoquée, il est moins connu qu’elle se divise en trois types différents selon l’endroit où le développement pathologique de l’endomètre crée des adhérences dans le corps des personnes atteintes. Endométriose superficielle, ovarienne ou profonde : quelles sont les différences entre ces trois formes d’endométriose, peut-on les cumuler et comment les traiter ? Dans l'article du jour, nous prenons le temps de nous arrêter sur les trois types d’endométriose qui existent et peuvent vous affecter. 

Tout d’abord, c’est quoi l’endométriose ?

Avant de vous présenter les trois formes de l’endométriose, commençons par le début : qu’est-ce que l’endométriose ?

Qu’est-ce que l’endométriose ?

L’endométriose est une maladie de l’endomètre. L’endomètre, c’est cette muqueuse de la paroi utérine qui se développe durant la phase lutéale du cycle menstruel pour accueillir le potentiel embryon et qui est expulsé durant les règles. Or, en cas d’endométriose, l’endomètre se propage au-delà de l’utérus, dans les trompes de Fallope, à l’extérieur de l’utérus, sur l’intestin grêle voire, dans les cas les plus profonds et graves, dans le cerveau. L’endomètre ne peut alors pas être expulsé et crée des adhérences qui entraînent toutes sortes d’inconvénients dont de fortes douleurs, notamment lors des cycles menstruels.

Quelles sont les causes de l’endométriose ?

Les causes de l’endométriose sont encore méconnues. Pendant longtemps l’endométriose a été associée à des causes multifactorielles, et notamment génétiques, mais cette approche est remise en cause depuis 2023 et des découvertes qui tendraient à associer l’endométriose à une infection bactérienne. Voici un récapitulatif des causes envisagées de l’endométriose en l’état actuel de la connaissance :

  • Théorie de la menstruation rétrograde : Cette théorie envisage que des fragments de tissu endométrial se détachent de l'utérus pendant les menstruations et se déplacent à travers les trompes de Fallope vers d'autres parties de la cavité pelvienne (trompes, ovaires, vessie, rectum), où ils s'implantent et se développent, provoquant l'endométriose ;
  • Facteurs génétiques : Les femmes ayant, dans leur famille proche (soeur, mère, grand-mère), des femmes atteintes d’endométriose ont plus de risques de contracter la maladie. Cela tendrait à dire qu’il existe une composante génétique dans le développement de l'endométriose.
  • Facteurs hormonaux : Les hormones, en particulier les œstrogènes, jouent un rôle important dans la croissance et le développement de l'endométriose. C’est pourquoi des chercheurs envisagent que des déséquilibres hormonaux ou une sensibilité accrue aux hormones puissent contribuer au développement de la maladie.
  • Dysfonction du système immunitaire : Il a été suggéré que des anomalies dans le système immunitaire pourraient permettre à des cellules endométriales de se propager et de s'implanter dans d'autres parties de la cavité pelvienne, au lieu d'être éliminées normalement par le système immunitaire.
  • Facteurs environnementaux : Certains facteurs environnementaux, tels que l'exposition à des produits chimiques toxiques et à des perturbateurs endocriniens, pourraient également jouer un rôle dans le développement de l'endométriose, bien que la recherche à ce sujet soit encore limitée.
  • Infection à une bactérie : En 2023, des chercheurs de l’université japonaise de Nagoya ont mis en évidence qu'une infection due à une bactérie du genre Fusobacterium est impliquée dans cette maladie hormonodépendante dont les causes sont génétiques et environnementales. Une hypothèse jamais envisagée à ce jour.

💡 Si les variations hormonales liées à la grossesse peuvent avoir un impact sur l’endométriose, aucune recherche n’a encore démontré que grossesse et endométriose pouvaient être liées.

Les symptômes courants de l’endométriose

L’endométriose affecterait environ 1 femme sur 10 environ mais ces chiffres restent flous car le diagnostic peut s’avérer long et compliqué. Ce, d’une part car la maladie reste encore peu étudiée, d’autre part car il est encore courant d’estimer normal d’avoir mal pendant ses règles et enfin parce que les symptômes sont très divers et non spécifiques à l’endométriose :

  • Douleurs au bas ventre chroniques : C'est l'un des symptômes les plus courants. Les douleurs peuvent s’avérer très sévères et augmenter fortement pendant les menstruations ;
  • Douleurs pendant les rapports sexuels : Certaines femmes ressentent des douleurs pendant ou après les rapports sexuels. Cela peut s’expliquer à cause des adhérences générées par des restes d’endomètre mal expulsés ;
  • Saignements menstruels abondants ou irréguliers : Des saignements menstruels plus abondants et/ou plus prolongés que la moyenne (entre 2 et 5 jours généralement) peuvent être un symptôme d’endométriose ;
  • Douleurs intestinales ou urinaires pendant les menstruations : Des douleurs abdominales, des troubles digestifs ou des douleurs lors de la miction peuvent être des marques de l’endométriose pendant les menstruations ;
  • Fatigue chronique : La fatigue peut être un symptôme associé à l'endométriose, probablement due aux douleurs et aux troubles du sommeil.

Peut-on guérir de l’endométriose ?

Au moment d’écrire cet article, il n’existe pas de moyen de guérir d’endométriose. Il est cependant intéressant de noter qu’elle s’atténue fortement à la ménopause, lorsque le taux d’oestrogènes baisse fortement dans le corps et cesse de varier.

Les traitements actuels consistent à :

  1. Ralentir l'occurrence des cycles menstruels, notamment en donnant la pilule en continu, de façon à ralentir la progression de la maladie ;
  2. Pratiquer de la chirurgie pour retirer les foyers d’endométriose dans les cas les plus graves.

Il y a cependant des raisons d’être optimistes : depuis la libération de la parole quant à cette maladie il y a de cela une dizaine d’années, les recherches (et les découvertes) sur l’endométriose se sont intensifiées. Alors même qu’il y a encore quelques années, la maladie n’était pas considérée–et ce, même par des gynécologues qui allaient jusqu’à nier son existence–elle est désormais plus connue. Les récentes avancées vont dans le sens d’une meilleure prise en charge de la maladie.

Les trois types d’endométriose

Il existe trois types d’endométriose qui se distinguent les unes des autres en fonction des organes touchées par le développement et l’agglomération de l’endomètre.

Endométriose superficielle

L’endométriose superficielle est la plus courante des formes d’endométriose –environ 70% des cas d’endométriose. Dans cette forme, les lésions se développent sur le péritoine, la membrane qui tapisse la cavité abdominale et recouvre les organes abdominaux. Cette forme d’endométriose est particulièrement difficile à repérer à l’imagerie (échographie et IRM) et peut nécessiter une laparoscopie, examen médical qui consiste à prélever chirurgicalement un petit morceau de la paroi de l’utérus pour l’observer.

⚠️ L’endométriose superficielle est dite “superficielle” en opposition à “profonde” (une autre forme de l’endométriose) et non en rapport aux douleurs qu’elle cause : une endométriose superficielle peut s’avérer particulièrement douloureuse, tout aussi douloureuse notamment qu’une endométriose profonde.

Endométriose ovarienne

Dans le cas de l'endométriose ovarienne, les agglomérats endométriosiques se trouvent sur les ovaires, formant des kystes appelés endométriomes ou kyste ovarien endométriosique. Ils peuvent s’installer sur un seul ou deux ovaires.

L’endométriose ovarienne est très souvent associée à la troisième forme d’endométriose : l’endométriose profonde (60 à 70% des femmes ayant une endométriose ovarienne ont aussi une endométriose profonde).

Endométriose profonde

La troisième forme d’endométriose s’appelle l’endométriose pelvienne profonde, ou endométriose sous-péritonéale ou endométriose infiltrante profonde. Elle est caractérisée par des lésions situées à plus de 5 mm de la surface du péritoine. Les organes touchés peuvent être : les ovaires, le vagin, les ligaments utérosacrés (50% des cas), l’intestin (20 à 25% des cas), le rectum, le côlon, la vessie (10% des cas) et les uretères (3% des cas).

D’autres organes, encore plus éloignés, peuvent être touchés par la maladie. On parle alors plutôt d’atteinte extra-pelvienne. Des lésions dans le cerveau ont même été retrouvées chez une patiente !

Endométriose superficielle, ovarienne ou profonde : laquelle est la plus grave ?

Pendant un temps, on parlait de “stades d’endométriose” selon les organes touchés par la maladie (il y avait quatre stades). Ce terme est passé et l’on préfère désormais parler de formes ou de types d’endométriose. Ce, notamment pour une raison : ces formes ne désignent pas des niveaux de douleur ou de gravité mais bien des formes différentes de la maladie. Ainsi, l’endométriose profonde n’est pas plus grave ou plus douloureuse que l’endométriose superficielle.

Le type d’endométriose est avant tout utile pour diagnostiquer votre maladie et la prendre en charge. C’est d’autant plus le cas quand il est question de chirurgie, pour retirer les agglomérats endométriques (même si cela touche une minorité de femmes : il faut parfaitement localiser les lésions.

Comment savoir si j’ai de l’endométriose ?

Malgré sa reconnaissance encore faible, l’endométriose est une maladie courante qui toucherait 10% des femmes. Elle souffre cependant d’un retard / d’une absence de diagnostic importante : on estime qu’en moyenne il faut sept ans pour être diagnostiquée d’endométriose après l’apparition des premiers symptômes.

Savoir reconnaître les symptômes et signes d’alerte

L’endométriose peut apparaître dès la puberté, à l’apparition des premières règles, ou plus tard. Elle est associée à la période de fertilité des personnes menstruées : elle se résorbe le plus souvent à la ménopause.

Les trois principaux symptômes qui doivent vous alerter sont :

  1. Douleurs pelviennes : des douleurs au bas ventre permanentes qui s’intensifie au moment de l’ovulation et des menstruations sont le symptôme le plus courant de l’endométriose (et notamment de l’endométriose superficielle) ;
  2. Saignements menstruels importants ou irréguliers : des saignements menstruels abondants en flux et/ou de longue durée (supérieur à 5 jours) sont aussi un symptôme de l'endométriose ;
  3. Douleurs et difficultés liées au transit et à la miction : un transit intestinal perturbé et des douleurs associées à la miction, notamment lors des règles, peuvent être associés à de l’endométriose (et notamment à de l’endométriose profonde).

L’ensemble de ces signes peuvent vous apparaître “normaux” et vous pourriez rechigner à aller consulter pour “si peu”. Après tout, les règles sont douloureuses pour bon nombre d’entre nous, n’est-ce pas ?

Les signaux d’alerte qui devraient vous amener à consulter sont :

  • Des douleurs nouvelles pendant vos menstruations : si vous souffrez bien plus que d’habitude lors de vos règles, cela peut signifier qu’il y a un problème. C’est d’autant plus vrai si plusieurs cycles consécutifs deviennent plus douloureux ;
  • Des douleurs qui vous empêchent de vivre : vous avez toujours eu mal pendant vos règles mais désormais, elles vous empêchent de vivre normalement ? Ce n’est pas normal ;
  • Des difficultés à tomber enceinte : dans certains cas, l’endométriose peut entraîner l’infertilité. Si vous ne parvenez pas à tomber enceinte de façon naturelle, il est normal de vous inquiéter.

Consulter un professionnel de santé

Pour vous faire diagnostiquer–ou du moins pour comprendre et traiter les douleurs que vous traversez–la première étape de votre parcours médical consiste à en parler à un professionnel de santé.

Le médecin généraliste et le gynécologue sont les deux professionnels qui pourront répondre à vos questions concernant vos douleurs et l’endométriose. Ils vous écouteront et selon vos symptômes, ils réaliseront un examen clinique et vous prescriront des examens spécifiques.

Sachez qu’il existe aussi des gynécologues spécialisés dans le diagnostic et le traitement de l’endométriose. Il pourra être intéressant de les consulter mais leur emploi s’avère souvent très rempli et les places sont chères !

Passer des examens cliniques

Il existe plusieurs examens cliniques qui peuvent permettre de diagnostiquer l’endométriose. Cependant, ces derniers ne s’avèrent pas toujours efficaces et il est souvent nécessaire de les multiplier avant de trouver les causes de vos douleurs.

  • Anamnèse et examen physique : Votre médecin commencera souvent par discuter de vos antécédents médicaux et de vos symptômes. Il effectuera un examen physique et pourra notamment effectuer un examen pelvien, à la recherche de toute anomalie, comme des nodules douloureux pouvant indiquer la présence d'endométriose.
  • Échographie pelvienne : L’échographie pelvienne est souvent le premier examen prescrit pour voir l’endométriose. Elle peut permettre de distinguer les anomalies qui peuvent toucher l’utérus et les ovaires, notamment les kystes ovariens.
  • IRM pelvienne : L’IRM pelvienne est souvent utilisée pour détecter et évaluer l'endométriose, notamment dans les cas où l'échographie ou d'autres méthodes d'imagerie ne fournissent pas des informations suffisantes.
  • Scanner pelvien : Moins utilisé que l’échographie et l’IRM, cet examen peut vous être prescrit pour obtenir des informations différentes de ces derniers en cas de suspicion d’endométriose.
  • Laparoscopie : Si les examens d’imagerie médicale ne donne pas assez d’information (c’est souvent le cas dans l’endométriose superficielle), une laparoscopie peut être envisagée. Cet examen est chirurgical : il s’agit d’inciser et de prélever une toute petite partie de la paroi des organes soupçonnés d’être touchés pour l’observer. C’est l’examen qui permet, à l’heure actuelle, le diagnostic de l’endométriose le plus précis.
  • Coloscopie : Ce dernier examen peut être envisagé dans le cas d’une suspicion d’endométriose profonde. Il s’agit de visualiser, grâce à une petite caméra, l’intérieur du côlon et de l’intestin, lors d’une anesthésie générale.

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Quels traitements ?

À l’heure actuelle, il n’existe pas de traitement pour guérir de l’endométriose, quelle que soit sa forme. Il existe cependant trois solutions pour limiter l’impact et les symptômes de la maladie : le traitement des symptômes de la maladie, le ralentissement de la maladie via des traitements hormonaux et la chirurgie pour réduire les kystes et adhérences.

Les traitements consistant à atténuer les symptômes

Les premières solutions qui existent pour traiter l’endométriose sont des solutions visant à traiter les différents symptômes de l’endométriose :

  • Traitements anti-douleurs pour limiter les douleurs pelviennes et abdominales liées à l’évolution de la maladie et aux crises liées aux menstruations ;
  • Traitements pour réguler le transit intestinal et faciliter les périodes entourant les menstruations ;
  • Traitement pour faciliter la miction lorsque la vessie ou les uretères sont touchés par l’endométriose profonde.

Les traitements consistant à ralentir la maladie

En parallèle, les médecins tentent le plus souvent de ralentir la progression de la maladie pour l’empêcher de vous toucher trop durement ou de s'aggraver (développement de plus de foyers d’endométriose). Pour cela, la solution est souvent un traitement hormonal : il s’agit de prendre la pilule en continu ou un DIU hormonal. Ces dernières permettent de limiter les variations hormonales dans votre corps et ainsi de limiter les crises.

La chirurgie pour traiter les kystes et adhérences

De façon très minoritaire, enfin, un traitement de l’endométriose peut être la chirurgie. Il s’agit de retirer les foyers d’endométriose qui créent des douleurs ou empêchent l’ovulation (notamment les kystes à l’ovaire dans le cas de l’endométriose ovarienne).

Quelles solutions naturelles peuvent soulager la douleur ?

Si vous êtes atteinte d’endométriose, il est possible que vous soyez dérangée à l’idée de prendre au quotidien des hormones et régulièrement des médicaments anti-douleurs pour freiner les symptômes de l’endométriose. Nous comprenons totalement que vous puissiez rechercher des solutions alternatives et plus naturelles : vous trouverez ci-dessous des pistes naturelles pour soulager vos douleurs.

Disclaimer : Consultez un médecin avant d’arrêter un traitement

Quelles que soient vos raisons, ne décidez pas d’arrêter un traitement médical (hormonal, anti-douleurs) sans en parler avant à un professionnel de santé. Vous restez maîtresse de votre traitement et de vos choix mais ces derniers se doivent d’être éclairés : avant toute décision, parlez-en au(x) professionnel(s) qui vous sui(ven)t et n’hésitez pas à prendre plusieurs avis.

Ceci est aussi le cas si vous voulez adopter un autre type de traitement pour limiter vos douleurs (CBD, phytothérapie) : demandez à un médecin ce qu’il en pense et si ces solutions n’entrent pas en conflit avec les médicaments que vous prenez. Il est en effet possible qu’il y ait des interactions !

Les solutions naturelles qui existent pour vous soulager

  • Adoption d’un mode de vie sain : Une alimentation variée, une hydratation régulière, un bon sommeil et limiter les abus (l’alcool, le tabac ou encore la caféine) peut atténuer les douleurs liées à l’endométriose.
  • Application de la chaleur : La chaleur est un décontractant musculaire. Elle peut atténuer les contractions de l’utérus qui entraînent en partie les douleurs menstruelles. Prendre un bain bien chaud et appliquer une bouillotte sont deux solutions intéressantes !
  • Pratique d’une activité physique : Faire du sport quand vos douleurs de règles sont importantes n’est pas évident mais si vous y parvenez, les endorphines libérées par le corps peuvent vous aider à soulager vos douleurs.
  • Massage du ventre : Vous masser le ventre peut vous aider à calmer vos douleurs. En effet, cette action produit de la chaleur et vous invite à vous concentrer sur vos sensations et à souffler.
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  • Pratiques de la relaxation : Le yoga, la méditation ou encore la sophrologie sont des pratiques favorisant la diminution des douleurs de règles. Testez les pratiques qui vous conviennent et qui diminuent vos douleurs.
  • Électrostimulation : L’électrostimulation consiste à parcourir votre corps de minuscules courants électriques. Cela vient stopper le message de la douleur envoyé de nos nerfs à votre cerveau.
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  • Masturbation / Relations sexuelles / Orgasme : Se masturber pendant vos règles a notamment pour effet de soulager les douleurs. C’est aussi le cas de la pratique sexuelle : faire l’amour libère des hormones qui contribuent à atténuer les douleurs. Si la pénétration n’est pas envisageable pour vous, la stimulation clitoridienne peut aussi fonctionner. Et si vous n’envisagez pas d’avoir un rapport, ne vous forcez pas ! C’est juste une solution parmi d’autres. ;)
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